On distingue plusieurs types de terrains : terrain à bâtir, terrain diffus ou isolé, terrain viabilisé, terrain en lotissement,… Nous nous intéressons ici à ce dernier type. Le terrain en lotissement est issu du morcellement d’un plus grand terrain. Il s’agit d’un terrain borné et dont les limites sont fixées. Il est donc préparé à l’avance pour une future clientèle. Le choix d’un terrain en lotissement offre des avantages, mais impose également des règles à respecter.

Les avantages d’un terrain en lotissement

Les terrains en lotissement sont pour la plupart des terrains viabilisés et constructibles. Voilà deux avantages importants à considérer. L’acheteur ne se soucie donc pas du raccordement aux réseaux divers (eaux, électricité, gaz, téléphone, etc.). Il ne se soucie pas non plus de la nature du sous-sol, ni de la sécurité et de l’aménagement des accès. C’est l’aménageur-lotisseur qui prend en charge tous ces travaux. Ce professionnel prend aussi en charge toutes les formalités administratives.

Plus qu’un terrain en lotissement, l’aménageur-lotisseur vous vend un projet architectural complet dans un environnement aménagé et intégré. L’aménageur-lotisseur s’associe avec d’autres professionnels de la construction pour garantir la qualité de l’aménagement. Pour votre achat d’un terrain en lotissement en France, nous vous conseillons vivement de contacter Bati Aménagement : vente de terrain dans le grand Ouest. 

Les règles à respecter

Quel que soit le bien immobilier (maison, appartement, rez-de-chaussée, immeuble, etc.) à construire, le choix d’un terrain en lotissement est soumis à des contraintes et obligations à respecter. Ces contraintes et obligations sont essentiellement relatives aux éléments suivants : la forme de la maison, le choix des matériaux et des couleurs, l’implantation de l’habitation, la superficie et la hauteur, le sens de faîtage des toitures, le type et la hauteur des clôtures, le choix des plantations, les conditions d’accès et de desserte de chaque lot, les règles de stationnement et l’intégration de certaines normes environnementales (comme la récupération des eaux de pluie ou l’utilisation des énergies renouvelables). Ces différentes règles sont généralement classées en deux grandes catégories : les règles architecturales et les règles d’aménagement du terrain.